Ma liste de lecture de rentrée & test de la nouvelle liseuse Kobo Elipsa 2E éco-consciente 📖♻️
Ah ! Le mois de septembre, cette ambiance de rentrée pleine de promesses et d’excitation, ce doux parfum d’automne qui flotte déjà dans l’air…
Chaque année j’attends avec impatience cette période qui est de loin l’une de mes préférées.
D’autant plus qu’en tant que lectrice (plus ou moins) assidue, septembre rime également avec rentrée littéraire !
Je sais que c’est un sujet sur lequel on papote pas mal ensemble sur mon compte Instagram, du coup cette année je me suis dit qu »il serait chouette de vous partager ma liste de lecture de ces prochains mois.
Au menu : des romans issus de la rentrée littéraire 2023, mais également des livres fantastiques des années précédentes qui me tentent beaucoup et des œuvres plus classiques dans lesquelles j’ai hâte de me replonger ! 💫
Mais avant tout, laissez-moi vous présenter le petit bijou qui va sans nul doute séduire les plus féru(e)s de lecture aussi bien que les lecteurs plus occasionnels, et même convaincre ceux/celles d’entre vous qui ne sont habituellement pas adeptes des e-readers : la nouvelle liseuse Kobo Elipsa 2E 📖
Je voulais impérativement vous la présenter car elle a un énooorme avantage qui la distingue de toutes les autres : la possibilité de prendre des notes manuscrites directement sur le texte, grâce au stylet Kobo Stylus 2 inclus ! ✍️ Imaginez pouvoir souligner des passages clés, griffonner vos pensées en marge (très utile quand on aime comme moi les romans d’enquêtes, ou quand on a du mal à s’y retrouver parmi tous les personnages notamment en début de lecture !) et même créer des cahiers de note avec des schémas/croquis/dessins manuscrits, tout cela dans un même appareil léger et facile à transporter !
Hyper pratique également pour les étudiant(e)s, qui peuvent avoir leurs livres de cours (le poids en moins !!) et même leurs documents (via Dropbox et Google drive, accessibles depuis l’interface Kobo ! 😍) annotés directement sur la liseuse 📚
C’est vraiment comme avoir une bibliothèque complète et des carnets de notes en un seul appareil, accessible n’importe où et n’importe quand !
Je possédais déjà une petite liseuse Kobo que j’adorais emmener en voyage pour ne pas être surchargée avec mes livres, mais avec cette nouvelle Kobo Elipsa 2E on passe vraiment dans une autre dimension en terme de confort de lecture et de praticité.
Moi qui avais même plutôt des difficultés à me séparer du charme des livres papiers, je suis complètement tombée sous celui de cette liseuse ultra ludique !
Son vaste écran tactile de 10,3 pouces est pensé pour un confort de lecture maximal, et est doté de la toute dernière technologie anti-reflets E Ink et du ComfortLight Pro pour soulager la fatigue visuelle en adaptant la luminosité et la température de couleur (et ainsi désactiver la lumière bleue le soir par exemple).
C’est notamment hyper pratique quand comme moi vous souhaitez lire le soir sans pour autant risquer de déranger votre partenaire ! J’ai pour ma part découvert ce gros avantage de la liseuse peu après la naissance d’Arthur, lorsque je l’allaitais en pleine nuit et que je souhaitais en profiter pour bouquiner (ce qui m’aidait à ne pas m’endormir 😅) sans le déranger ni être agressée par une lumière vive. A l’époque j’avais d’ailleurs profité de ces sessions de lecture nocturnes pour me refaire tous les Harry Potter ! 💫
Bon à savoir également, pour les aficionados des livres audio : vous pouvez les écouter directement via cette liseuse Kobo Elipsa 2E en connectant simplement vos écouteurs, casque, haut-parleur (et même système stéréo de votre voiture !) grâce au Bluetooth !
En pratique, la prise en main de cette liseuse et du stylet est quant à elle très simple : l’écran tactile est très réactif, de même que le stylet qui retranscrit sans temps de latence (notamment grâce au nouveau processeur dual Core 2GHz) tout ce qui nous passe par la tête. Ce dernier permet ainsi d’écrire, dessiner, mais également surligner les passages clés ; il possède par ailleurs un embout « gomme » à son autre extrémité qui permet d’effacer ce qu’on veut sans difficulté ! On est vraiment comme sur un réel support papier, ce qui est très agréable et ludique ✍️
De mon côté je vous conseille par ailleurs vivement d’investir un chouilla plus afin d’acquérir l’étui intelligent Sleepcover, hyper pratique car aimanté et qui permet de ranger et accéder au stylet en deux temps, trois mouvements tout en protégeant efficacement l’écran de votre appareil.
Côté batterie, l’autonomie de cette liseuse Kobo Elipsa 2E est assez impressionnante car une seule charge permet de profiter de l’appareil pendant plusieurs semaines !
L’Elipsa 2E possède par ailleurs 32Go de mémoire, ce qui donne à la liseuse une capacité de stockage très importante et nous permet de conserver en bibliothèque hors ligne énormément de livres et documents (un ebook « pèse » environ 1,3Mo, je vous laisse faire le calcul !!). On peut donc facilement faire son choix parmi les millions d’eBooks dans la librairie numérique de Kobo sans avoir peur de manquer de place 👌📚
Enfin d’un point de vue éco-responsabilité, la marque Kobo a passé la vitesse supérieure sur ses derniers produits et cette nouvelle liseuse Elipsa 2E en est la preuve : elle est composée à 85% de plastique recyclé dont 10% issus de l’océan, ainsi qu’avec un alliage de magnésium recyclé. ♻️
L’étui intelligent Sleepcover (vendu séparément) de cette liseuse Elipsa 2E est quant à lui composé à de 97% plastique recyclé !
En résumé, que vous soyez déjà adeptes ou non des liseuses je vous recommande vivement cette nouvelle Kobo Elipsa 2E, vous ne pourrez plus vous en passer tant elle est pratique, légère et agréable à utiliser.
C’est devenu un indispensable de mon quotidien que j’ai toujours dans mon sac, pour pouvoir bouquiner et écrire mes pensées n’importe où, n’importe quand ! 🤍
Découvrir la liseuse éco-consciente Kobo Elipsa 2E 📖✍️♻️
👉 et rendez-vous dans mon concours Instagram pour tenter de remporter la vôtre ! 😍
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Comme promis, voici à présent ma petite liste de lecture pour ces prochains mois 📚 pour info tous les titres présents sont bien sûr disponibles directement sur votre liseuse Kobo !
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Psychopompe – Amélie Nothomb (rentrée littéraire 2023)
Amélie Nothomb est de loin l’un de mes auteurs favoris depuis l’adolescence !
J’ai lu avec délice tous ses livres et me réjouit chaque rentrée de découvrir à quelle abracadabrante histoire sa fantastique plume aura encore donné vie (elle écrit un livre par an).
Le pitch de ce nouveau roman : » « Écrire, c’est voler. »
Après Premier sang, prix Renaudot 2021, Amélie Nothomb révèle la genèse de sa
carrière d’écrivaine. » (résumé Kobo.com)
Premier paragraphe :
« Le marchand de tissus vit passer un vol de grues blanches. Émerveillé par leur beauté, il pensa qu’il rêverait de découvrir une étoffe d’une splendeur comparable à leur plumage.
De retour à sa boutique, il reçut la visite d’une cliente mystérieuse. Il s’agissait d’une jeune fille d’une beauté sans précédent. Sa longue chevelure noire était lisse, sa peau étincelait de blancheur, le bout de ses lèvres portait ce trait de rouge qui signale le haut lignage. Cette noblesse trouvait sa confirmation dans les manches de son kimono, qui traînaient jusqu’au sol. L’habit en question arborait le blanc rare des familles élevées. »
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L’épaisseur d’un cheveu – Claire Berest (rentrée littéraire 2023)
Le pitch : « Etienne est correcteur dans l’édition. Avec sa femme Vive, délicieusement fantasque, ils forment depuis dix ans un couple solide et amoureux. Parisiens éclairés qui vont de vernissage en concert classique, ils sont l’un pour l’autre ce que chacun cherchait depuis longtemps.
Mais quelque chose va faire dérailler cette parfaite partition.
Ce sera aussi infime que l’épaisseur d’un cheveu, aussi violent qu’un cyclone qui ravage tout sur son passage.
Implacable trajectoire tragique, L’Épaisseur d’un cheveu ausculte notre part d’ombre. Claire Berest met en place un compte-à-rebours avec l’extrême précision qu’on lui connaît pour se livrer à la fascinante autopsie d’un homme en route vers la folie. » (résumé Kobo.com)
Premier paragraphe :
« Quand Étienne Lechevallier s’indigna à part lui que le serveur du Petit Brazil le reluquât encore une fois d’un drôle d’air, nous étions lundi dernier aux alentours de dix-sept heures trente ; Étienne avait comblé sa matinée de corrections sur le manuscrit d’un auteur dont il poussait au paroxysme la joie mauvaise de détester le travail, il avait avalé vers treize heures une omelette, debout dans sa cuisine, accompagnée d’un morceau de roquefort, et à l’heure du café il était parti pédalant en direction du Petit Brazil l’humeur joviale, car une seconde journée débutait pour lui, dévolue à son projet personnel qu’il jouissait encore de tenir en toute clandestinité, habillant l’escapade d’un charme secret ;
il était alors impossible d’imaginer que trois jours plus tard, dans la nuit de jeudi à vendredi, Étienne tuerait sa femme. »
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Le bureau des affaires occultes – Eric Fouassier (sorti en mai 2021)
Cela faisait un moment que j’entendais parler de cette série de livres d’enquêtes d’Eric Fouassier (le 3ème tome vient d’ailleurs de sortir), je me suis donc décidée à rajouter le premier tome à ma liste ! En effet il possède à peu près tous les ingrédients qui peuvent me séduire pour ce type de roman : une ambiance un peu dark dans le Paris du début du XIXe, du mystère, un personnage principal charismatique et un soupçon de fantastique. Hâte de le commencer !
Le pitch : Automne 1830, dans un Paris fiévreux encore sous le choc des Journées révolutionnaires de juillet, le gouvernement de Louis-Philippe, nouveau roi des Français, tente de juguler une opposition divisée mais virulente.
Valentin Verne, jeune inspecteur du service des mœurs, est muté à la brigade de Sûreté fondée quelques années plus tôt par le fameux Vidocq. Il doit élucider une série de morts étranges susceptible de déstabiliser le régime.
Car la science qui progresse, mêlée à l’ésotérisme alors en vogue, inspire un nouveau type de criminalité. Féru de chimie et de médecine, cultivant un goût pour le mystérieux et l’irrationnel, Valentin Verne sait en décrypter les codes. Nommé par le préfet à la tête du « bureau des affaires occultes », un service spécial chargé de traquer ces malfaiteurs modernes, il va donner la preuve de ses extraordinaires compétences.
Mais qui est vraiment ce policier solitaire, obsédé par la traque d’un criminel insaisissable connu sous le seul surnom du Vicaire ?
Qui se cache derrière ce visage angélique où perce parfois une férocité déroutante ?
Qui est le chasseur, qui est le gibier ?
Dans la lignée des grands détectives de l’Histoire, de Vidocq à Lecoq en passant par Nicolas le Floch, un nouveau héros est né. » (résumé Kobo.com)
Premier paragraphe :
« Affronter sa peur.
Lorsqu’il a découpé la toile de tente à l’aide d’un tesson de bouteille, l’enfant croyait trouver un refuge. Il ne pouvait pas imaginer ce qui l’attendait à l’intérieur. L’escalade de la peur. Tous ces regards enfiévrés, tous ces visages effarés qui lui renvoient sa propre terreur… Maintenant il gît là, tremblant de tous ses membres, recroquevillé dans une pénombre poisseuse. Les rares chandelles disposées à l’intérieur n’ont pas pour fonction de chasser l’obscurité, mais de créer un savant jeu d’ombres et de clartés. Elles semblent flotter dans l’air, tels des papillons de flamme. À leur lueur inquiétante le jeune garçon préférerait encore le tunnel d’encre de la rue. Le noir, le néant. Tout, plutôt que ces visions d’épouvante qui l’assaillent sous la toile humide. Mais il n’ose plus bouger. Il se contente de fermer les yeux. Comme si le rideau de ses paupières constituait un rempart efficace. Suffisait à faire disparaître l’insoutenable.«
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Dans la forêt des larmes – Glendy Venderah (rentrée littéraire 2023)
Le pitch : ‘La Forêt sauvage… Aussi loin qu’elle s’en souvienne, Ellis a toujours traversé le massif de roses et de mûres qui borde le parc pour caravanes où elle habitait enfant, pour y trouver refuge. C’est dans cet îlot de verdure, auprès du doux bruissement des feuillages et du murmure apaisant du ruisseau, qu’elle trouvait alors les confidents dont elle avait besoin les jours où sa mère buvait trop. Aussi est-ce tout naturellement qu’elle s’y réfugie quinze ans plus tard, accompagnée de ses jumeaux de quatre ans et de son bébé, Viola, le jour où elle découvre l’infidélité de son mari.
Mais les lueurs vagabondes de la clairière, le croassement des corbeaux, l’agitation de ses garçons et son propre tumulte intérieur lui font commettre l’irréparable. Au moment du départ, elle oublie sur le parking le siège-auto où dort sa fille.
À son retour, dix minutes plus tard, Viola a disparu, comme avalée par la forêt. Ellis entame alors un long voyage au cœur du bois pour apprendre à vivre avec sa culpabilité et à se pardonner… » (résumé Kobo.com)
Premier paragraphe :
« Les premiers mots qu’elle livra à la nature furent : « S’il te plaît, reviens ». Ellis avait neuf ans, et elle était assise sur les berges de la rivière dans la Forêt Sauvage – c’était Zane qui l’avait baptisée ainsi. Quand elle rentrait à la maison, les souliers maculés de boue et la tignasse emmêlée, il commentait parfois d’un « Tiens, le petit farfadet est allé faire un tour dans sa Forêt Sauvage ? » et elle répondait « oui », car la forêt était sauvage, et car c’était bien la sienne. »
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La Peau de Chagrin – Honoré de Balzac (1831)
Avec l’arrivée de l’automne, il me vient toujours une furieuse envie de me replonger dans les classiques de la littérature dans lesquels on retrouve une petite ambiance fantastique, à la limite du gothique ; les années précédentes j’avais ainsi plutôt pour habitude de relire des œuvres de la littérature anglaise (dont je suis une grande adepte) comme Les Hauts de Hurlevent, Jane Eyre, ou encore des nouvelles d’Edgar Allan Poe, mais cette fois j’ai eu très envie de rester en France et redécouvrir La Peau de Chagrin que je n’avais pas lu depuis le lycée 🍂
Le pitch : « Raphaël de Valentin est un jeune marquis malchanceux, ruiné et solitaire, au bord du suicide. Il doit sa survie à un antiquaire, chez qui il trouve par hasard un talisman, une « peau de chagrin » censée exaucer le moindre de ses désirs. Désespéré par son odieuse vie, le jeune homme décide de céder aux caprices et aux excès.
Il s’accapare la richesse et l’amour qui le fuyaient jusqu’alors. Mais chaque vœu exprimé rétrécit la peau de chagrin, et diminue l’existence de Raphaël.
Vieilli, malade, il est terrifié par le pouvoir de cette peau qui emporte avec elle des fragments de sa jeunesse. L’usage inconsidéré qu’il fait de son talisman l’obligera à combattre sa nouvelle dépendance, pour éviter l’accomplissement de cette étrange et inquiétante prophétie.
Premier paragraphe : « Vers la fin du mois d’octobre dernier, un jeune homme entra dans le Palais-Royal au moment où les maisons de jeu s’ouvraient. Sans trop hésiter, il monta l’escalier du tripot1 désigné sous le nom de numéro 36.
– Monsieur, votre chapeau, s’il vous plaît ? lui cria d’une voix sèche et grondeuse un petit vieillard blême, accroupi dans l’ombre.
Quand vous entrez dans une maison de jeu et à peine avez-vous fait un pas vers le tapis vert, déjà votre chapeau ne vous appartient pas plus que vous ne vous appartenez à vous-même : vous êtes au jeu, vous, votre fortune, votre coiffe, votre canne et votre manteau. À votre sortie, le Jeu vous démontrera qu’il vous laisse encore quelque chose en vous rendant votre bagage. »
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La Dame Aux Camélias – Alexandre Dumas fils (1848)
Un autre classique de la littérature que j’avais envie de relire depuis un moment, avec toujours cette ambiance parisienne du XIXème en toile de fond et une romance tragique qui sait émouvoir à merveille mon âme de romantique (au sens presque mélancolique du terme !) invétérée.
Le pitch : « À Paris, au milieu du XIXe siècle, Armand Duval, un jeune bourgeois, s’éprend d’une courtisane dont le camélia est l’emblème : Marguerite Gautier. Tout oppose les amants : les convenances sociales, la morale, la contrainte familiale. Leur passion transcende ces interdits. Mais elle se heurte à la puissance de l’autorité paternelle, à la peur du manque d’argent, puis à la maladie secrète qui ronge la jeune femme. Après le succès du roman dont elle s’inspire, La Dame aux Camélias triomphe sur scène en 1852, et, dès l’année suivante, Verdi l’adapte à l’opéra avec La Traviata. Bientôt, cette passion dévorante sera élevée au rang de mythe. Avec ce drame inspiré de la vie et de la mort d’une véritable courtisane, Marie Duplessis, amatrice d’art et de littérature, Alexandre Dumas fils signe l’un des chefs-d’œuvre du théâtre du XIXe siècle, qui bouleverse ‘ tous les cœurs et toutes les âmes ‘. » (résumé Kobo.com)
Premier paragraphe : « Mon avis est qu’on ne peut créer des personnages que lorsque l’on a beaucoup étudié les hommes, comme on ne peut parler une langue qu’à la condition de l’avoir sérieusement apprise.
N’ayant pas encore l’âge où l’on invente, je me contente de raconter.
J’engage donc le lecteur à être convaincu de la réalité de cette histoire dont tous les personnages, à l’exception de l’héroïne, vivent encore.
D’ailleurs, il y a à Paris des témoins de la plupart des faits que je recueille ici, et qui pourraient les confirmer, si mon témoignage ne suffisait pas. Par une circonstance particulière, seul je pouvais les écrire, car seul j’ai été le confident des derniers détails sans lesquels il eût été impossible de faire un récit intéressant et complet. Or, voici comment ces détails sont parvenus à ma connaissance. – Le 12 du mois de mars 1847, je lus, dans la rue Laffitte, une grande affiche jaune annonçant une vente de meubles et de riches objets de curiosité. »
***
Et vous, que lisez-vous en ce moment ?
Y a-t-il des livres de ma liste qui vous font également envie ou que vous aviez déjà prévu de lire ?
Par ailleurs que pensez-vous de cette nouvelle liseuse Kobo Elipsa 2E ?
(collaboration commerciale rémunérée avec Kobo ❤️)
Merci pour les recommandations de lecture!! En effet cette tablette a l’air vraiment bien, je me dépêche de participer au concours! Avec Noël qui approche en plus ça donne des idées ❤️
Avec plaisir ❤️ en effet une très belle idée cadeau également, qui fera plaisir à coup sûr !!
Bonne chance au passage pour le concours IG et merci de ta participation
Je me suis complément laissé prendre par la lecture de cet article et de tes partages des rentrées littéraires, merci !!
Eh oui, j’adore également Amélie Nothomb 🙂
Quel super produit en tout cas cette liseuse, très aboutie ! et une mention « bravo » pour l’engagement écoresponsable/recyclage par ailleurs
Rdv donc de suite sur ton jeu concours IG pour espérer emmener toutes mes lectures dans un seul support, et pouvoir y apporter des notes, gros plus !
J’ai quasiment terminé le 1er tome de « Le puits des mémoires », de Gabriel Katz . Hâte de lire la suite.
Comme chaque année je suis impatiente de découvrir le nouvel Amélie Nothomb !
Ta description de la nouvelle tablette Kobo donne trop envie ❤️. Elle a l’air bien grande et c’est tellement bien de pouvoir ajouter des notes
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